En juin dernier, l’AIMG est venue pour la première fois à Marseille. À cette occasion, j’ai eu la joie de participer avec l’équipe de BOOM Worship au temps de louange. Ce fut un moment fort, marqué par la présence de Dieu et une atmosphère de foi vivante.
L’AIMG, ou Association Internationale des Ministères de Guérison, est un réseau international qui encourage les chrétiens à manifester concrètement la puissance de guérison de Dieu dans leur ministère et leur communauté. Ce n’est pas seulement un mouvement «spectaculaire » : les guérisons qui s’y produisent révèlent l’essence même de l’Évangile. Elles sont des signes tangibles que le Royaume de Dieu est réellement à l’œuvre parmi nous.
Ces guérisons ne sont pas des performances ni des attractions. Elles ne visent pas à impressionner, mais à manifester l’amour de Dieu et à révéler sa gloire. Dieu guérit parce qu’il aime, parce qu’il est proche, parce qu’il agit. Dans Matthieu 11:20-24, Jésus nous appelle à une repentance authentique — non pas simplement à regretter nos fautes, mais à adopter une vision radicalement nouvelle du monde et de notre foi.
Les miracles sont l’expression du Royaume de Dieu qui se déploie. Jésus n’a pas dit seulement “priez pour les malades”, mais “guérissez les malades, chassez les démons, purifiez les lépreux, ressuscitez les morts”. Et soyons honnêtes : qui peut ressusciter les morts ? Pas nous, en tant qu’humains. C’est précisément pourquoi cet appel est une invitation à une confiance radicale, à une foi qui dépasse nos limites humaines.
La puissance divine n’est pas réservée à une élite spirituelle. Elle est accessible à tous ceux qui osent croire et agir. À travers les guérisons, c’est l’amour de Dieu qui devient palpable, visible, concret. Mais il y a plus encore : le plus grand miracle n’est pas physique, il est spirituel. Quand une personne donne sa vie à Jésus après avoir expérimenté sa puissance, c’est là que se produit la véritable victoire — le passage des ténèbres à la lumière, vers la guérison ultime qu’est la vie éternelle.
